Balade difficile...[PV: Drago]

Invité

Elisabeth errée dans les couloirs à la recherche de silence. La salle de gryffondor rassemblait une espèce de tournois inter-année d’échec magique, un jeu qui chez les sorciers devenait une véritable guerre. Tous dans la salle hurlait et parier sur les gagnants avec des friandises et des cartes des sorciers, espérant ne pas perdre sa mise et récupérer quelques avantages.
Quand aux dortoirs beaucoup n’avaient pas encore ranger leurs affaires et le désordre qui y traînait lui faisait froid dans le dos.

Dans les couloirs beaucoup de monde rôdés aussi, il lui semblait même que tous s’étaient donnée le mot au vu de sa balade qui se changeait peu à peu en parcourt du combattant.
Finalement, au travers d’un couloir qu’elle négocia durement à cause d’un groupe d’élève se promenant sérer, elle arriva devant la porte entrouverte d’une salle vide et s’y engouffra discrètement, fermant correctement cette fois-ci la porte derrière elle.

Salle de classe banale mais inoccupé qui lui rappelait ses heures passer en cours, parfois ennuyant ou mouvementée suivant la classe qui les accompagnés.
Une table, la sienne, retint particulièrement son regard. Placée près de la fenêtre, chose qui n’était pas une coïncidence, lui rappelait ses longues heures à se questionnée, le regard vide et inexpressif posé sur le parc vide.

Elle s’installa sur cette fameuse table et jeta un coup d’œil au parc, qui contrairement au heures de cours étaient remplit d’élève profitant des dernières lueurs du soleil.

*Belle insouciance des jeunes* elle se perdit dans cette pensée en se déconnectant presque du monde.

Invité

Draco était depuis plus longtemps qu'il ne le pensait dans la salle de cours. Bien qu'il voulait profiter de ses enfants, il ne pouvait s'empêcher de s'interroger sur qui était leur mère. Avait-il pu renier à son homosexualité pour mieux se fondre dans le monde magique ? Chose peu probable, vu que ces Gryffondor, Thomas et Finnigan, se montraient sans peur, ou se montreraient... Mais même s'il s'était trouvé un compagnon pour fonder une famille, l'aimait-il plus que Harry ?
Il retint un juron. Quoiqu'il fasse, ses pensées le ramenaient toujours à son amour pour Potter, ça en devenait presque gênant ! Il avait l'impression d'être l'une de ces midinettes qui rougissent et gloussent au moindre geste, à la moindre parole d'un beau garçon.
En relevant les yeux, il remarqua une jeune femme était entrée. Trop préoccupée par ses pensées, il ne l'avait même pas entendue entrer. Il se leva, près à sortir le plus discrètement pour rejoindre ses enfants. Ce n'était peut-être pas le moment de se battre avec d'autres élèves, alors que leur progéniture pouvait arriver à tout instant en renfort. Alors qu'il n'était qu'à quelques mètres de la porte, il reconnut l'élève. C'était une Gryffondor de son âge, et de sa session. Hmm, après tout, une petite joute lui permettrait d'évacuer un peu de frustration...
Il tourna et traversa la salle d'un air suffisant.

" Qu'est-ce que tu fais là ? Tu ne vois pas que j'y étais déjà ? Tu ne peux pas rester avec tes enfants ? A moins que tu n'en ai pas car personne n'a voulu de toi ! "

[Je sais, c'est vraiment naze ! ^^]

Invité

[Mais non t’inquiète pas ^^]

On ne pouvait vraiment plus être tranquille dans ce collège. Voilà qu’a peine rentrée et assise, elle se rendit compte qu’un autre élève était là, bien décidée à la faire sortir de ses pensées, et de la faire sortir de la salle tout court d’ailleurs. Si le simple fait d’être là avant pouvait à ce point le gêner, elle n’avait pas besoin de tourner la tête pour savoir qui avait décidé de la faire bouger. Un serpentard forcément.

Ne prenant même pas la peine de descendre de son assise peu confortable, elle tourna vers celui qui hurlait pensant ainsi lui faire peur. Il était vrai qu’elle n’avait pas encore cherchée ses enfants, si elle en avait… Ses désirs de vengeance l’avait peut être amenée, quelques années plus tard à la mort ? Il était bien sur hors de question de laisser cet idiot qu’elle avait au passage reconnu lui faire perdre la tête en la remplissant de questions de ce genre.

- Pense tu vraiment, mon cher Malfoy, que le simple fait de ta présence avant la mienne puisse m’intéresser ? Je n’avais pas vu que tu étais ici avant moi, il faut dire que je m’intéresse peu à l’insignifiant !

Ces phrases banales entre serpentards et gryffondors faisaient pratiquement partit du paysage, mais les sujets qui y étaient abordés récemment l’était moins. Parler de progéniture à 17 ans était bizarre dans ce contexte d’étudiant, mais assez drôle pour les répliques.

- Pour ce qui est de mes enfants, je préfère attendre de voir plutôt que de, comme beaucoup ces temps-ci, courir après chaque élève dont la tête m’est inconnu. Je vois que pour ta part, la déception doit être grande pour que tu t’isoles et que tu ne te vantes pas d’avoir trouver la perle qui te supportera !

» Drago Malefoy [Fiche Finie]